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Chronique : Ils n'auraient pas dû, Katell Curcio
C'est sur cette citation que l'auteure commence son récit. Un roman autoédité de 150 pages avec lequel j'ai passé un agréable moment. L'intrigue est simple et nous tournons les pages sans aucune prise de tête. Bien entendu, il y a certains passages sur lesquels j'en demandais encore, mais cela ne m'a pas empêchée de savourer le texte.
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